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Ogresse

Ogresse

Bras-de-Fer, 1829 : Femme qui loue des effets aux filles.

Halbert, 1849 : Tavernière de tapis-franc ou maison galante.

Delvau, 1866 : s. f. Marchande à la toilette, proxénète, — dans l’argot des filles, ses victimes.

Delvau, 1866 : s. f. Maîtresse de tapis-franc, de maison borgne, — dans l’argot des voleurs, qui ont sans doute voulu faire allusion à l’effroyable quantité de chair fraîche qui se consomme là dedans.

Rigaud, 1881 : Cabaretière, propriétaire d’un garni à la nuit et à la corde. — Revendeuse à la toilette, vendeuse et revendeuse de chair humaine plus ou moins fraîche.

La Rue, 1894 : Maîtresse d’hôtel borgne. Cabaretière. Marchande à la toilette. Proxénète.

Virmaître, 1894 : La procureuse ou la proxénète, bouquetière ou marchande à la toilette ; elle donne cent sous aux filles quand elle touche vingt francs, elle leur vend mille francs ce qui vaut cent francs. Mot à mot : l’ogresse les mange toutes crues (Argot des filles).

Virmaître, 1894 : Femme friande de chair fraîche appartenant à son sexe (Argot des filles). V. Accouplées.

Hayard, 1907 : Tenancière de caboulot. Proxénète.

France, 1907 : Tenancière d’un débit de bas étage, maîtresse d’un lupanar, d’un hôtel borgne, marchande à la toilette, proxénète.

France, 1907 : « Femme friande de chair fraîche appartenant à son sexe. » (Ch. Virmaître)


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