Rigaud, 1881 : Prostituée décrépite qui tend à la débauche une main secourable quoique souvent couverte de gale.
Ces filles vieilles, laides, décrépites et dégoûtantes, appelées pierreuses dans l’administration, qui se désignent sous le nom de manuelles.
(Parent-Duchatelet, De la prostitution.)