Rigaud, 1881 : Usé jusqu’à la corde, complètement déformé ; objet de toilette qui rappelle en partie le costume délabré de Robert-Macaire.
On y voit une troupe de malheureux couverts d’humides et boueux haillons, le chef orné de chapeaux macairiens.
(H. Berlioz, Les Grotesques de la musique)
France, 1907 : Individu possédant les aptitudes du Macaire. « Réputation macairienne », réputation de filou.