d’Hautel, 1808 : Mot burlesque, pour la vue, les yeux.
Il n’a plus qu’une lucarne. Se dit d’un homme borgne ; qui n’y voit que d’un œil.
Larchey, 1865 : Lorgnon monocle.
Du malheureux monde comme ça, on n’y voit que d’un œil et encore pas sans lucarne.
Gavarni.
Delvau, 1866 : s. f. Monocle, — dans l’argot des faubouriens. Crever sa lucarne. Casser le verre de son lorgnon.
Rigaud, 1881 : Chapeau de femme. — Monocle.
La Rue, 1894 : Monocle. Chapeau de femme.
France, 1907 : Verre de vitre que les aborigènes du département de la Haute-Gomme se posaient encore il y a quelques années sur un œil, en l’absence duquel verre il était, paraît-il, impossible d’être un homme chic et copurchic. Cela est passé de mode.
Crever sa lucarne, casser son lorgnon.
France, 1907 : Bonnet de femme.