d’Hautel, 1808 : Une louve. Mot injurieux que l’on applique à une femme pervertie, livrée au vice et à la débauche.
Delvau, 1864 : Femme débauchée et hystérique.
Par la mort Dieu, vous dites vrai. Saint Antoine arde la louve.
(Les Cents Nouvelles nouvelles.)
Car à toute heure on vous trouve
Faisant la chatte ou la louve.
En public ou à l’écart.
(Cabinet satyrique.)
En outre tu es un adultère qui as souillé mon lit avec cette louve.
Ch. Sorel.
France, 1907 : Femme ou fille livrée à la débauche ; enragée comme une louve.
Ô louve inassouvie,
Passe, folle et ravie,
Niant dans ton ardeur
Toute pudeur !
(A. Glatigny, Joyeusetés galantes)
Car tout à l’heure on vous trouve
Faisant la chatte ou la louve
En public ou à l’écart.
(Le Cabinet satyrique)