Larchey, 1865 : Cigare de la Havane.
Je me rejetai dans le fond de la voiture et j’allumai un londrès.
Mornand.
Delvau, 1866 : s. m. Cigare de vingt-cinq centimes de la Havane, — ou d’ailleurs.
France, 1907 : Cigare de la Havane de 25 centimes. Appelé ainsi parce que ce genre de cigares fut d’abord fabriqué à Londres.
Une association de commerçants vient, paraît-il, de se fonder en Allemagne pour l’exploitation du commerce des bouts de cigares. L’usine, en voie de construction, fonctionnera bientôt et, grâce à des appareils ingénieux, remettra dans la circulation, sous forme de savoureux londrès ou de capiteux havanes, des mégots que, si dédaigneusement, vous avez jetés à demi consommés.
Pourvu que la Régie ne se mette pas à suivre cet exemple !
(Le Journal)
Le soir, entre deux londrès bien allumés,
Nous récitons les vers des maîtres renommés.
(Albert Glatigny)