d’Hautel, 1808 : Au figuré, s’épancher en paroles piquantes sur le compte de quelqu’un ; le mettre en pièces dans ses propos.
Larchey, 1865 : Percer d’un coup de pointe. — Lardoire : Épée.
Vous verrez si je manie bien la lardoire.
Ricard.
Delvau, 1866 : v. a. Percer d’un coup d’épée ou d’un coup de sabre, — dans l’argot des troupiers. Se faire larder. Recevoir un coup d’épée.
Rigaud, 1881 : Donner un coup d’épée, un coup de couteau.
Hayard, 1907 : Accoucher.
France, 1907 : Percer d’un coup de couteau, d’épée ou de sabre la peau humaine, et par suite « terme libre, dit Le Roux, qui signifie faire le déduit, se divertir avec une femme ».