Rigaud, 1881 : Nez de forte taille, — dans le jargon des typographes. Au propre, en terme de métier, on nomme « décognoir » le morceau de bois dont on fait usage pour chasser les coins avec lesquels on serre les formes.
Boutmy, 1883 : s. m. Morceau de bois dur, long de 18 à 20 centimètres, aminci par un bout, employé pour chasser les coins avec lesquels on serre les formes. Au fig. Nez. Pourquoi appelle-t-on un gros nez un décognoir ? Sans doute à cause de l’analogie de forme.
France, 1907 : Nez. Le décognoir est, en terme d’imprimerie, un morceau de bois dont une des extrémités est amincie et qui sert à chasser les coins.