d’Hautel, 1808 : Une décharge de coups de bâton. Pour dire la bastonnade.
Delvau, 1864 : Éjaculation.
Il faut que la femme, dans le point de la décharge, si elle veut que le coup porte, tienne les fesses serrées l’une contre l’autre et ne se remue en façon quelconque que tout ne soit fait et achevé !
Mililot.
L’éclair brille, Jupiter tonne,
Son vit n’en est point démonté ;
Contre le ciel sa tête altière,
Au bout d’une courte carrière,
Décharge avec tranquillité.
Piron.
Ah ! tu ne t’en iras pas que je n’aie déchargé.
La Popelinière.
Les capotes mélancoliques
Qui pendent chez le gros Millan,
S’enflent d’elles-mêmes, lubriques,
Et déchargent en se gonflant.
(Parnasse Satyrique.)