d’Hautel, 1808 : Savoir le dessous des cartes. Connoitre les intrigues, les ressorts cachés d’une affaire.
Halbert, 1849 : Amant supplémentaire.
France, 1907 : La chemise, les jupons et le pantalon d’une femme.
Nini Patte-en-l’air affirme que ses dessous lui coûtent trois cents francs. Puisqu’ils sont destinés à être exhibés, ce luxe n’a rien de surprenant ; mais que penser de cette prude dévote à qui une amie demandait pourquoi, au moment de partir en voyage, elle soignait tant ses dessous. — « Ah ! Répliqua-t-elle, on ne sait avec qui l’on se trouve dans les trains et l’on peut rencontrer un insolent. »
Les jambes en question, les demi-nus suspects, les dessous prévenus, il me semble qu’on serait juste, qu’on ferait preuve de bonne grâce en reconnaissant la part qu’ils ont souvent dans la naissance du sentiment et dans la conservation de l’amour.
(Fernand Vandérem, Le Journal)
France, 1907 : Amant de cœur d’une fille. Celui qu’on cache quand se présente l’amant payant, le miché sérieux.