Halbert, 1849 : Femme honnête.
Delvau, 1864 : Jeune fille sans expérience de l’amour, malhabile aux jeux de l’alcôve. — S’emploie aussi pour désigner un con de mauvaise mine, ou un grand con, ou un con de vieille femme. Quelques auteurs désignent, par le mot connasse, une femme honnête. Les femmes inscrites comme filles publiques à la police désignent souvent aussi par le nom de connasse les allés qui font habituellement la vie et qui craignent de se faire inscrire.
… À l’une sa connasse
Qui tombe par lambeaux…
Louis Protat.
Mais on sent aussi qu’un connichon aussi jeune ne pouvait admettra un vit qui ne décalottait pas encore, il me fallait une connasse.
(Anti-Justine, p. 3.)
Larchey, 1865 : Les femmes inscrites à la police donnent ce nom à toutes celles qui ne le sont pas.
France, 1907 : Femme honnête.