Larchey, 1865 : « L’ennemi naturel du matelot, c’est le soldat passager, plus souvent nommé cabillot, à cause de l’analogie qu’on peut trouver entre une demi-douzaine de cabillots (chevilles) alignés au râtelier et des soldats au port d’armes. » — Physiologie du Matelot, 1843. — La langue romane avait déjà cabi : serré, rangé. V. Roquefort.
Delvau, 1866 : s. m. Soldat, — dans l’argot des marins.
Rigaud, 1881 : Soldat de passage sur un navire, — dans le jargon des marins.
France, 1907 : Soldat ; argot des marins.
L’ennemi naturel du matelot, c’est le soldat passager, plus souvent nommé cabillot, à cause de l’analogie qu’on peut trouver entre une demi-douzaine de cabillots — chevilles — alignés au râtelier et des soldats au port d’armes.
(Physiologie du Matelot)
Le cabillot est la cheville en fer ou en cuivre qui sert à tourner les cordages.