d’Hautel, 1808 : Pour gorge, gosier ; ce que le peuple appelle-, plus plaisamment encore, Vallée d’Angoulême, Vallée de Josaphat.
Larchey, 1865 : Gosier (Vidocq). — Inutile d’insister sur l’origine du mot. On voit que le gosier est ici dans l’exercice de ses fonctions.
Delvau, 1866 : s. m., ou Avaloire, s. f. Le gosier, — dans l’argot des faubouriens, dont les pères ont chanté :
Lorsque la cruelle Atropos
Aura tranché mon avaloire,
Qu’on dise une chanson à boire !
La Rue, 1894 : Gosier.
Virmaître, 1894 : La gorge. Elle avale tout en effet (Argot du peuple). V. Dalle.
Rossignol, 1901 : La gorge.
France, 1907 : Le gosier.