Delvau, 1864 : Amant, — qui aide en effet l’époux dans sa besogne conjugale, mais à son insu, bien entendu.
Il est assez égal que les enfants qu’elle pourra donner à son époux soient de lui ou du plus fécond des aide-mari qu’elle favorise.
A. de Nerciat.
Virmaître, 1894 : L’amant. Il aide à la besogne conjugale, sans en avoir les désagréments. On dit aussi l’autre. Pour les omnibus traînés par trois chevaux, on dit : ménage à trois. Allusion à ce qu’ils tirent les uns après les autres (Argot du peuple). N.