Heroin.
But de l’opération : réussir à toucher du doigt et à coucher sur bandes ce son unique, à la fois burné et aérien, dont les célèbres transes sous rabla qu’il a inspiré à la fin 90’s, lui ont valu le sobriquet de Stoner.
(Clément Mathon @ the-drone.com, 04/2011)