Russe.
Le plus surprenant, c’est qu’on vient de découvrir seulement maintenant, plus de quinze ans après sa mort, ses véritables activités. A la suite de la désertion d’un haut personnage soviétique. Un Popof que le démon de la cinquantaine travaillait et qui s’est entiché d’une poulette de Boston au point de demander le droit d’asile et d’abandonner sa mégère moscovite et ses descendants.
(San-Antonio, Fais-moi des choses, 1978)