AccueilA B C D E F G H I J K L M N O ΠP Q R S T U V W X Y ZLiens

courriel

un mot au hasard

Dictionnaire d’argot classique
Argot classique
le livre


Facebook

Share

Russe-français
Russisch-Deutsch
Rusianeg-Brezhoneg
Russian-English
Ρώσικα-Ελληνικά
Russo-italiano
Ruso-español
Rus-român
Orosz-Magyar
Ruso-aragonés
Rusice-Latine
Французско-русский
Немецко-русский
Бретонско-русский
Französisch-Deutsch
Allemand-français
Блатной жаргон
Soldatensprachführer
Военные разговорники

Entrez le mot à rechercher :
  Mots-clés Rechercher partout 


Aiguille à tricoter les côtes

France, 1907 : Épée ou fleuret.

Avoir les côtes en long

Delvau, 1866 : Être paresseux. On dit aussi Avoir les côtes en long comme les loups, qui en effet ne peuvent pas, à cause de cela, se retourner facilement. Ne pas pouvoir se retourner, ne savoir pas se retourner, c’est la grande excuse des paresseux.

Boulet à côtes

Delvau, 1866 : s. m. Melon, — dans l’argot des faubouriens. Ils disent aussi Boulet à queue.

Chatouiller les côtes

France, 1907 : Battre, donner une volée à quelqu’un.

Clocher des deux côtés

France, 1907 : Porter à deux épaules.

Côtes à quelqu’un (travailler les)

France, 1907 : Le battre.

Cotes en long

Virmaître, 1894 : Fainéant (Argot du peuple). V. la Basse.

Côtes en long (avoir les)

Rigaud, 1881 : Ne pas aimer le travail. Celui qui aurait les côtes en long ne pourrait ni se baisser ni faire aucun ouvrage fatigant. Autrefois, on disait avoir les bras rompus ; c’était le adineros pagados brancos que brantados des Espagnols.

Merlin, 1888 : Être paresseux.

France, 1907 : Être paresseux.

Travailler les côtes

Rigaud, 1881 : Médire. — Battre.

Tricoter les côtes

Hayard, 1907 : Battre.


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique