France, 1907 : Épée ou fleuret.
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Aiguille à tricoter les côtes
France, 1907 : Épée ou fleuret.
Avoir les côtes en long
Delvau, 1866 : Être paresseux. On dit aussi Avoir les côtes en long comme les loups, qui en effet ne peuvent pas, à cause de cela, se retourner facilement. Ne pas pouvoir se retourner, ne savoir pas se retourner, c’est la grande excuse des paresseux.
Boulet à côtes
Delvau, 1866 : s. m. Melon, — dans l’argot des faubouriens. Ils disent aussi Boulet à queue.
Chatouiller les côtes
France, 1907 : Battre, donner une volée à quelqu’un.
Clocher des deux côtés
France, 1907 : Porter à deux épaules.
Côtes à quelqu’un (travailler les)
France, 1907 : Le battre.
Côtes en long (avoir les)
Rigaud, 1881 : Ne pas aimer le travail. Celui qui aurait les côtes en long ne pourrait ni se baisser ni faire aucun ouvrage fatigant. Autrefois, on disait avoir les bras rompus ; c’était le adineros pagados brancos que brantados des Espagnols.
Merlin, 1888 : Être paresseux.
France, 1907 : Être paresseux.
Travailler les côtes
Rigaud, 1881 : Médire. — Battre.
Tricoter les côtes
Hayard, 1907 : Battre.
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