Delvau, 1866 : (V. Se lâcher.)
Virmaître, 1894 : Pet foireux qui répand une odeur qui ne rappelle pas précisément la rose (Argot du peuple).
France, 1907 : Lâcher un vent.
Cette petite était vive et gentille, dodue et faite autour, et je l’eusse volontiers gardée comme amie. Mais, quoique bonne à orner un lit, comme disait Rabelais, elle le parfumait trop. Elle ne faisait que lâcher en dormant une succession de tubéreuses et un chapelet de pastilles n’ayant rien de commun avec celles du sérail.
(Les Joyeusetés du régiment)