d’Hautel, 1808 : Grosse tripière. Terme grossier et malhonnête, qui se dit d’une femme dont les volumineux appas ne sont rien moins qu’appétissans.
Delvau, 1864 : Femme ou fille à la gorge mal faite, — ou trop fournie.
Madame de Bassompierre, qui n’était ni jeune ni belle, et qui n’avait’ pour elle que son embonpoint et ses grands airs, ne manquait pas de galants… Le Plessy-Guénégaud s’amusait à payer cette grosse tripière comme un tendron, parce qu’elle était de qualité.
P. Dufour (Hist. de la prostitution.)
Delvau, 1866 : adj. et s. Fille ou femme trop avantagée.
Rigaud, 1881 : Femme très avantagée sous le rapport de la poitrine. — Forte tripière, énormément bien avantagée.