Halbert, 1849 : Jeûner.
Larchey, 1865 : Jeûner (Vidocq). — On connaît la sobriété de la tortue.
Delvau, 1866 : Jeûner, — dans l’argot des voleurs et des faubouriens, qui font allusion à l’abstinence volontaire ou forcée à laquelle l’intéressant testudo est astreint pendant des mois entiers.
Rigaud, 1881 : Jeûner ; imiter, contraint et forcé, la sobriété de la tortue.
Virmaître, 1894 : Ne rien manger. Jeûner volontairement ou par la force des choses (Argot des voleurs). N.
France, 1907 : Jeûner. Allusion à la tortue qui passe tous les mois de l’hiver sans manger.