Rigaud, 1881 : Derrière. À l’époque où le téléphone et le phonographe firent leur apparition, le schelingophone, a été imaginé pour propager dans les classes voyoucratiques l’amour de la désinence phone. — Enlever le schelingophone, donner du pied au derrière.
C’est moi, si eune dame m’parlait ainsi, que j’aurais vite fait d’i enlever le schelingophone, l’aller et le retour et train rapide !
(Grévin, Petit Journal pour rire, 1879.)
France, 1907 : Pantalon. Enlever de schelingophone à quelqu’un, lui donner un coup de pied au derrière.
— C’est moi, si une dame m’parlait ainsi, que j’aurais vite fait d’i enlever le schelingophone.
(Grévin)