un détenu, 1846 : Fou.
Larchey, 1865 : Fou, homme dont les idées flottent tous les vents comme un pavillon. — Pavillonner : Deviser joyeusement, plaisanter, déraisonner.
On renquillera dans la taule a mesigue pour refaiter gourdement, et chenument pavillonner, et picter du pivois sans lance.
(Vidocq)
Delvau, 1866 : s. et adj. Fou, — dans l’argot des faubouriens.
La Rue, 1894 : Fou. Mensonge fait sans nécessité.
France, 1907 : Évaporé, tête folle, cerveau versatile qui n’a pas d’idée fixe, qui tourne à tous les vents comme un pavillon.