France, 1907 : Seins de femme.
Ce M. du Plastron n’était pas insensible aux séductions éternelles de la jupe, et point fâché de le prouver ; pour s’assurer sans doute que les nénés de la particulière étaient bien à leur place, il risqua de ce côté une reconnaissance qui n’avait rien de commun avec celles du Mont-de-Piété.
(Jean Deslilas, Fin de Siècle)
Soyez blond’s, brun’s, grass’s, maigres même,
Soyez grand’ dame ou m’nu trottin,
Vous avez tout’s la grâc’ suprême,
Et toutes la peau de satin,
Si l’une a le teint lys et rose,
Une autre a d’merveilleux nénés ;
Une troisièm’, c’est autre chose,
Brill’ par la taille ou les mollets.
(Henri Bachman)
Mignarde, amoureuse, replète,
Le néné ferme et rondelet,
Tout en sa personne me plaît
— Hormis son goût pour la toilette.
(Armand Silvestre)