La pine et les couilles qui, réunies, forment un nœud assez solide, — pour nouer la femme à l’homme. L’homme qui a beaucoup baisé de femmes et qui pour faire une fin, se marie, appelle cela : former d’autres liens. La femme, également logique, dit ; former un nouveau nœud. — Ce mot est employé fréquemment par les voyous qui disent : mon nœud ! plus facilement qu’ils ne disaient : du flan !
La femme n’est pas au monde pour lire,
Le nœud d’un goujat veut celui d’un roi.
(Parnasse satyrique.)