AccueilA B C D E F G H I J K L M N O ΠP Q R S T U V W X Y ZLiens

courriel

un mot au hasard

Dictionnaire d’argot classique
Argot classique
le livre


Facebook

Share

Russe-français
Russisch-Deutsch
Rusianeg-Brezhoneg
Russian-English
Ρώσικα-Ελληνικά
Russo-italiano
Ruso-español
Rus-român
Orosz-Magyar
Ruso-aragonés
Rusice-Latine
Французско-русский
Немецко-русский
Бретонско-русский
Französisch-Deutsch
Allemand-français
Блатной жаргон
Soldatensprachführer
Военные разговорники

Entrez le mot à rechercher :
  Mots-clés Rechercher partout 


Loff, loffe, loffard

France, 1907 : Niais, pleurard.

Le lof est le côté d’un navire qui se trouve frappé par le vent qui le fait crier. Le loffard, au bagne, est le forçat frappé par une condamnation à perpétuité et qui gémit comme un enfant sur son sort.

(Alfred Delvau)

Quand j’y pense, fallait-il que je fasse loff pour donner dans un godau pareil !

(Mémoires de Vidocq)

Loffe

Rigaud, 1881 : Spectateur, — dans l’ancien argot des comédiens ; c’est-à-dire imbécile, naïf. Le mot est emprunté à l’argot des voleurs.

La Rue, 1894 : Niais, innocent. Pleurard. Faux. Mauvais.

Loffe, loffiat

Rigaud, 1881 : Niais, bêta.

Schloffer

Delvau, 1866 : v. n. Dormir, se coucher, — dans l’argot des faubouriens, qui ont appris cette expression dans la fréquentation d’ouvriers alsaciens ou allemands (schlafen). Ils disent aussi Faire schloff.

Rigaud, 1881 : Dormir. — Germanisme.

La Rue, 1894 : Dormir. Schlof, lit.

France, 1907 : Dormir.


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique