Delvau, 1866 : s. f. Coups donnés ou reçus, — dans l’argot du peuple.
Virmaître, 1894 : Recevoir une bonne frottée ou la donner. Se battre (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Donner des coups a quelqu’un, c’est lui flanquer une frottée.
France, 1907 : Correction.