Delvau, 1866 : s. m. Meurtrier, — dans l’argot des prisons. Signifie aussi Voleur.
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Fourline ou Fourlineur
Delvau, 1866 : s. m. Meurtrier, — dans l’argot des prisons. Signifie aussi Voleur.
Fourline, fourlineur
France, 1907 : Voleur à l’étalage.
Jamais un voleur à la tire, fier de sa valeur, de sa hardiesse, ne consentira à commettre un vol à l’étalage. Ce serait pour lui tomber un dernier degré de la déchéance et de l’avilissement, Et comme je m’en étonnais devant l’un deux, il me répondit : « Demanderiez-vous à un grand peintre de faire l’enseigne d’un cabaret ? » En effet, ils considèrent le fourline comme un mendiant de la « basse pègre. »
(G. Macé, Un Joli Monde)
Fourlineur
Halbert, 1849 : Homme qui vole dans les foules.
Rigaud, 1881 : Voleur à la tire. Ce sont les successeurs des anciens tirelaines. (Canler, 1862.)
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