Boucher un trou, une brèche, une fente
Delvau, 1864 : Introduire le membre viril dans le vagin d’une femme, sous prétexte d’en mastiquer les fissures.
Plus loin, j’ trouvons madam’ vot’ mère
Sous not’ aumônier Goupillon ;
J’ dis : Vous bouchez un’brèch’, not’ père,
Par où pass’rait un bataillon.
Béranger.
Fente
Delvau, 1864 : La nature de la femme, destinée à être fendue.
Rien ne fut soustrait à mes regards… Lucette, couchée sur lui, les fesses en l’air, les jambes écartées, me laissait apercevoir toute l’ouverture de sa fente, entre deux petites éminences grasses et rebondies.
Mirabeau.
Toutes filles, en cas pareil,
Désireraient à leur réveil
Qu’un tel que moi leur fît de rente
Un bon vit pour boucher leur fente.
(Cabinet satyrique.)
Et puis après il se vante
D’avoir bouché votre fente.
Gautier-Garguille.
Pontgibaut se vante
D’avoir vu la fente
De la comtesse d’Alaïs.
Tallemant des Réaux.
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