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Besogne

d’Hautel, 1808 : Il est né un samedi, il aime bien la besogne faite. Se dit d’un paresseux, d’un homme indolent et oisif qui a une sainte horreur pour le travail.
Faire plus de bruit que de besogne. Voyez Bahutier.
Faire de belle besogne. Signifie ironiquement, ne faire rien qui vaille ; travailler en pure perte.

Delvau, 1864 : L’acte vénérien, que nous accomplissons sans douleur — mais non sans fatigue. C’est ce que Fourier appelle le travail attrayant.

Quand ils ont bien travaillé et qu’ils sont saouls de la besogne.

Tabarin.

De le faire cent coups, voire à beau cul levé,
Avec votre Brillant, qui besogne en crevé.

Trotterel.

La belle en train de bien apprendre,
Serrait Lucas, qui, las de besogner,
Par un air abattu lui fit assez comprendre
Qu’on ne peut toujours enseigner.

VIDA.

Besogner

d’Hautel, 1808 : Expédier de l’ouvrage, travailler rapidement et avec ardeur.

Chier sur la besogne

Delvau, 1866 : Travailler mollement, et même renoncer au travail.

Embesogné

d’Hautel, 1808 : Être embesogné. Avoir beaucoup de besogne ; être pressé par l’ouvrage, avoir des affaires par-dessus les yeux.

France, 1907 : Occupé.


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